Quand il faut faire le deuil de son Compostelle.
Un dossier de l’Association du Québec à Compostelle.
Que reste-t-il lorsqu’on ne peut plus partir? Nombreuses sont ces personnes qui avaient rêvés depuis longtemps leur aventure sur les chemins de Compostelle. La pandémie actuelle a cependant eu raison de leur projet.
Pour aider à faire le passage, l’Association du Québec à Compostelle à offert une plateforme sans précédent pour permettre à tous ces pèlerins et toutes ces pèlerines de prendre la parole sur ce deuil à faire. Des 608 départs prévus, 60 ont accepté de témoigner.
Voici donc ce dossier dirigé avec brio par Guy Vermette de l’Association Du Québec à Compostelle. Riche en témoignages, il reprend l’essence de ce qui a laissé le coeur lourd, en donnant une voix à ces personnes qui attendaient avec impatience leur départ sur les chemins de Compostelle. Avec ce dossier, tous ceux et celles qui avaient prévu partir, que ce soit sur les chemins de Compostelle ou ailleurs, trouveront un écho à ce qu’ils ont pu vivre en ayant la douleur de devoir laisser tomber le projet… pour cette année.
Merci à l’Association du Québec à Compostelle d’avoir su faire preuve d’une aussi grande sensibilité à l’égard de tous ces gens!
Merci à tous ceux et celles qui ont participé, de près ou de loin, à cet exercice et qui ont accepté de livrer leurs états d’âme.
Merci à Johanne Morin, présidente de l’association et à Guy Vermette d’avoir autorisé la diffusion de ce dossier.
Nous vous invitons à le lire et à le partager!
Cliquez sur ce lien pour avoir accès à la revue « Pas à pas » et lire le dossier en entier :
Éric Laliberté et Brigitte Harouni